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volgende bladzijde verdedigt dat eveneens het boeddhisme leert, inplaats van een ,,suicide universel”, ,,de travailler au salut de l’humanité”. Dit wordt niet gerelativeerd door zijn omschrijving van de ideale boeddhistische staat: ,,Dans l’état bouddhique idéal, la société civile et la société religieuse sont tout à fait identiques”. Hij besluit dan ook: ,,D’après ce que nous avons vu, le Bouddhisme ne saurait donc être un danger pour la société humaine, il n’y a aucune raison de partager l’inquiétude de certains savants occidentaux qui tiennent le Nirvâna bouddhique pour un grand péril1).

Ook Maritains wijsgerig oordeel wordt medebepaald door het toenmalige stadium der (katholieke) wijsbegeerte. Ze konden, in dat stadium, zo gemakkelijk neergeschreven worden, logische volzinnen als: ,,Le mal n’est plus seulement d’avoir une existence individuelle ou personnelle, le mal est d’exister: il est mauvais d’être; et le désir d’être est la source de toutes les douleurs. Le sage doit donc détruire en lui l’aspiration naturelle de l’homme vers l’étre et vers la beatitude, ou plénitude d’être, il doit laisser route espérance et éteindre tout désir. Il parviendra ainsi à l’état de vide ou d’indétermination totale appelé nirvâna, qui le délivrera du mal d’être et du joug de la transmigration, et qui, suivant le développement logique des principes bouddhistes, devrait être regardé comme l’annihilation de l'âme elle-même: car l'âme n’est que la chaine ou le courant des pensées et des sentiments qui doivent l’existence au désir d’être; éteindre ce désir, est donc éteindre l’âme 2), Men moet toegeven, het klinkt alles zeer logisch en de taal van het boeddhisme schijnt hij vloeiend te spreken (ook hem ,,sind die Ausdrücke geläufig"). Maar als het er alleen om gaat om via deze vernietiging, van de ziel, van de menselijke persoonlijkheid, te ontsnappen naar het volstrekte niets van het nirwâna – ,,ce terme essentiellement obscur n’a jamais été défini par le Bouddha”, tekent Maritain tussen haakjes aan als betrapte volgende bladzijde


1) Introduction, p. XXXVIII.
2) Jacques Maritain, ,Eléments de philosophie’, I, p. 15, Paris, 1921.


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R. Bruning en Th. Bruning
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laatste aanpassing: 13-10-2014